Cette
semaine, je vous épargne le k-drama du moment. Pour faire pire ? Place à
la k-pop. (Est-ce que je touche le fond? Peut-être mais très joyeusement, alors, ça va.)
Ce qui m’a
le plus étonné, c’est le plaisir que j’ai eu à posséder un objet physique.
Comme tout le monde, j’avais pratiquement oublié que la musique n’était pas
uniquement un truc qui s’écoute en streaming ou qui se télécharge sur le
téléphone. Même le fait d’avoir entre les mains un livret, de tourner des
vraies pages et de regarder des photos sur papier était une redécouverte en
soi. Alors même que je n’ai jamais complètement abandonné le livre physique au
profit de la liseuse ou de la seule consultation d’internet. Ne creusons pas
trop loin dans la psychologie de comptoir, n’allons pas parler fétichisme ou
avarice, mais c’est une sensation, tout autre d’avoir quelque chose entre les
mains, une sensation complètement oubliée, finalement, et que j’ai vraiment
apprécié de redécouvrir. (Because we are living in a material world and
I am a material girl.) Voilà
qui m’éloigne un peu plus encore de tout fantasme de vie épurée et minimaliste.
Remarquez
que ce n’est pas pour autant une nouvelle collection, une nouvelle obsession.
Je n’ai aucun sens de la collection, ça ne m’intéresse pas du tout, je me
contente juste d’accumuler des choses que j’ai. L’expérience était très plaisante
mais je ne vais pas nécessairement la renouveler et acheter plus… Juste, je
sais que la possibilité est là et je ne bouderai pas mon plaisir. Quant au fait
que l’insomniaque en moi aime écouter 2:PM à 2:AM, oui, je saisis bien
toute l’ironie du truc.
En
skincare, les beaux jours arrivants, j’allège petit à petit ma routine. Petit à
petit, parce que la météo ne change pas en deux jours et surtout parce que tout
mes flacons ne se terminent pas en même temps. (Ce qui est très bien dans ce
cas, ça permet d’adapter l’adaptation parce que, OUI, on est des pinailleurs
qui aiment faire les choses bien.) Je passe donc de la crème de nuit
Réparatrice Intensive à la Réparatrice tout court chez Paula’s Choice et d’une
recommandation peau sèche à peau normale à sèche. Avec un peu moins de rétinol.
La différence de texture n’est pas flagrante, ça m’arrange un peu. À voir à
l’usage mais si elle ne devait pas me convenir, je pourrais toujours revenir à
la version intensive en dehors des périodes de canicule… (Les détails sur la crème réparatrice intensive ICI)
Personnellement
-truc, astuce, c’est gratuit vous en faites ce que vous voulez- j’ai résolu le
problème en réfléchissant autrement. J’ai renoncé à savoir si ma peau était
sèche ou pas, je sais juste qu’elle réagit bien aux soins pour peaux sèches
donc je dis qu’elle est sèche. Oui, elle brille mais elle est bien plus jolie,
le teint est frais, il n’y a ni bouton ni points noirs, ce qui n’est pas
forcément le cas avec les produits pour peaux grasses parce que réaction-boutons
et que la pire idée, c’est d’utiliser des soins pour peau très grasses parce
que « ce n’est pas assez fort pour vous. » Mais « non, je vous jure,
madame l’esthéticienne ! » (Et si vous m’avez entendu penser très
fort « connasse » Heu… Peut-être que je l’ai pensé, d’accord.)
Franchement,
s’enfermer dans une définition, c’est peut-être pratique parce que ça évite de
réfléchir, mais ce n’est pas la meilleure solution. Parfois, il faut sortir de
sa case et aller voir dans celle du voisin, parce que le skincare, c’est comme
la vie, ce qui compte, c’est le résultat et peu importe le pourquoi du comment
et si les spécialistes nous disent qu’on a tout faux.
Et pour
ceux que ça intéresse, à propos de « la vie du blog » je n’arrête pas
de me dire que je vais faire une vidéo et puis, finalement non, je vais plutôt
écrire… (La preuve.) Et comme vous avez dit que vous préfériez les longs articles fourre-tout, je fais des longs articles fourre-tout parce que je ne suis pas contrariant. (Je vous vois ricaner, sachez que cela traduit un manque de cœur certain.)
Je me reconnais complètement dans ces phrases (--> Les fleurs blanches, c’est bien tout le temps. Mais je les aime un peu sophistiquées quand il fait froid et plus « nature et pure matière » dans la chaleur.)... et à la rigueur juste dans la première !
RépondreSupprimerLes j-drama et k-drama, ma mère m'oblige à en regarder quand je passe la voir, pas d'échappatoire.
Ah, moi, je n'oblige personne. (Ce qui est étonnant parce que je pourrais facilement être tyrannique, je pense. Bon, disons que je n'oblige personne parce que je suis bien conscient que la rébellion s'organiserait immédiatement.)
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