"Il n’en était pas moins vrai que l’idéal de M. de Charlus était fort factice…"
Marcel
Proust, à la recherche du temps perdu, à l’ombre des jeunes filles en fleurs,
1919.
Vous savez
ce qu’on dit : si tu n’as rien d’aimable à dire, ne dis rien.
NON. Pas sur
ce blog, darling, pas sur ce blog.
Ce n’est
pas que j’ai des choses particulièrement négatives à dire sur Byredo, même pas.
Mais je n’ai rien de très aimable à dire non plus. Oh, sauf que les packaging
sont très jolis, très photogéniques. Pas au point d’aller acheter un flacon
pour faire un billet mais puisqu’on n’arrête pas de me refiler des échantillons…
#pourquoi
1996 est le
fruit d’une collaboration, parce que Byredo est une marque arty et
conceptuelle, mais ça, je m’en fiche royalement, le concept, ça ne fait pas un
parfum, seul ce que je sens compte. Et je ne m’amuse pas, même si ça sent
plutôt bon. Le parfum est le prototype du truc bobo (et plutôt représentatif de
la marque branchée pour non perfumistas uniquement) : une senteur
faussement hippie, ambrée-vanillée avec patchouli sans aspérité, amincie par une note
de genièvre au départ et accompagnée d’une touche de (faux) cuir très propre. L’ennui
parisien reformaté pour Instagram dans toute sa splendeur.
1996, Byredo,
2013.
Je ne connais aucun parfum de la marque Byredo, je n'ai donc strictement rien à dire. Mais je le dis quand même parce qu'ici on a le droit 😁😁
RépondreSupprimerAh Ah Ah
SupprimerOui, ici, on n’a le droit, je ne censure rien. Sauf les messages de promo pour prêts d’argent rapides …