billethé

 

Prendre le thé adoucit et embelli l’existence et chaque réception de commande passée chez Honoris Causa est une petite joie parce que les thés sont délicieux et les packagings absolument ravissant. (D’ailleurs, des mots comme packaging ou emballage semble bien vulgaires pour des objets aussi jolis.) Voilà des années que je suis client et jamais je n’ai été déçu par la qualité des thés proposés ou le choix des mélanges parfumés et des infusions. (Et, oui, bien sûr, j’ai ENCORE craqué pour une boîte à thé beaucoup trop belle !)

 

Mes goûts ont changé et aujourd’hui, je ne bois quasiment plus que des thés verts du Japon toute la journée et un peu de gunpowder de Chine pour me réveiller le matin. En hiver, le seul thé noir que je boive est un Pu-Erh dont j’apprécie les notes chaudes et enveloppantes de tourbes, de champignons, de moisissures. Dit comme cela, on pourrait penser que c’est un goût acquis, mais ce fut un coup de foudre à la première rencontre et je n’ai pas vraiment évolué sur le sujet. (Et je continue à acheter les versions de base d’une qualité tout-à-fait suffisante pour mon palais toujours pas très affiné.)

 

Régulièrement racheté, une originalité : le Daï Viet, un thé vietnamien, tout en douceurs et en rondeurs parfait pour réconforter… chaque fois que le besoin s’en fait sentir ! Pour les infusions, j’ai cette fois craqué pour Chamane qui goûte bon le réglisse anisé et l’aiguillon, un gingembre rafraichit de citronnelle. Ils sont bien toute l’année, mais pour se réchauffer ou survivre aux refroidissements, je les trouve indispensables…

 

(Je suis toujours preneur de recommandations.)