histoire d'O

L’artisan parfumeur sort encore une fleur d’oranger. Il y en a beaucoup en ce moment. Trop ? Oui, peut-être, mais c’est joli et ça se prête à de nombreuses variations, ne compter pas sur moi pour me plaindre de la popularité d’une fleur blanche. C’est une eau de fleur d’oranger telle qu’on l’utilise en cuisine que nous livre Marie Salamagne, entre l’innocente musquée qui sent le propre et la capiteuse fleur blanche, une eau toute douce qui réussit à être innocente sans être niaiseuse et sensuelle sans être aguicheuse. Ce n’est pas mon truc, je préfère le néroli esprit cologne, le plus vert et crissant possible, donc je ne vais pas vous faire un roman à ce sujet, mais je vous la signale parce qu’elle est bien jolie, très fine, vraiment facile à porter et agréable, même si, au-delà de l’échantillon reçu, je n’irai pas acheter un flacon, elle vaut le détour pour l’amateur de fleur d’O.

Histoire d’oranger, Marie Salamagne pour l’Artisan Parfumeur, 2017.

Commentaires

  1. Bon après-midi Dau,
    J'aime beaucoup les fleurs blanches et j'attends impatiente l'arrivée de cette belle fleur d'oranger, j'aime le nom en espagnol "azahar" bien que moi aussi je lui préfère le néroli plus vert et pimpant.
    Avec les grandes chaleurs j'ose même les fleurs d'oranger de SL avec ce côté érotique et chaud qui s'épanouit par un temps d'enfer.
    En tout cas je vais essayer dès que ce sera disponible à Madrid.
    Cordialement,
    Sara

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    Réponses
    1. Bonjour Sara,

      Oui, moi aussi, j'aime beaucoup celle de Lutens, capiteuse à souhait!Clairement, les fleurs blanches aiment l'été et la chaleur...
      à bientôt
      Dau

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