J’allais
commencer ce billet en disant que les circonstances m’ont forcé à me pencher
sur Alien Essence Absolue, mais c’eut été mentir: on ne se penche pas sur cet
Alien, il vous saute à la gueule. Bien fait, il incarne une certaine conception de la modernité qui consiste à
écraser tout sur son passage en un formidable rouleau compresseur culturel…
Adieu à la subtilité de l’approche, seul compte le résultat, l’efficacité. À l’instar
d’une Lady Gaga en maillot de latex martelant son po-po-po-poker face et
mettant le monde à ses pieds, Alien impose ses notes poisseuses et fait tout
tomber sur son passage, toujours remarqué.
Les compliments et les coups d’un soir seront le lot de ceux et celles qui osent. Il suffira de ne pas voir les narines frémissantes de ces grands délicats incommodés par un sillage tonitruant, ces ringards, dont je suis, amateurs d’un peu plus de délicatesse dans l’approche. Le premier parfum signé Mugler était une bonne nouvelle car il secouait un monde consensuel et aseptisé, la suite montre, hélas, que cette position est une posture figée.
Les compliments et les coups d’un soir seront le lot de ceux et celles qui osent. Il suffira de ne pas voir les narines frémissantes de ces grands délicats incommodés par un sillage tonitruant, ces ringards, dont je suis, amateurs d’un peu plus de délicatesse dans l’approche. Le premier parfum signé Mugler était une bonne nouvelle car il secouait un monde consensuel et aseptisé, la suite montre, hélas, que cette position est une posture figée.
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