cleansing oil black rice, HaruHaru Wonder

 


Une huile démaquillante, ça faisait longtemps. Pas que je les boudais, mais ce n’était pas forcément très utile. Pour rappel, je ne me maquille pas et j’utilise au quotidien des solaires, certes, mais pas nécessairement hyper tenaces, puisque ce n’est pas pour me baigner, suer, me frotter. Un seul nettoyant suffit donc… Et puis l’été est venu. (Et va peut-être revenir, parce que passer de plus de 30 à 16 en trois jour je suis un peu traumatisé, juin, pour l’automne, c’est quand même un peu tôt!)


L’été est revenu, j’avais envie de nouveaux trucs et le packaging était trop trop joli. Voilà, c’est dit, cette marque coréenne fait envie aussi à cause de ça, jetez-moi des pierres si vous voulez. La liste d’ingrédients est courte, huile de riz brun, de tournesol, d’olive, de jojoba… Du naturel, bien gras et une texture relativement épaisse qui permet de ne pas en mettre partout et de travailler l’huile avant de la rincer. Pour ce qui est de la performance, elle est très bien : ça lave, laisse la peau douce et se rince plutôt bien… Mais j’avoue que je prends plaisir à masser et émulsionner pendant un certain temps, je ne suis pas pressé quand je me nettoie à l’huile. Elle se rince bien mais je passe quand même un second nettoyant à base d’eau. Si je devais utiliser l’huile comme nettoyant unique, je crois qu’au lieu de rincer en mode feignasse, j’utiliserais un gant de toilette ou une lingette.


Elle est vraiment toute douce. Très. Les peaux sèches vont adorer. Les peaux grasses aussi mais avec second nettoyant. Ce qui me plaît, c’est la sensorialité : elle est parfaite pour masser la peau sans la tirer, elle fait glisser les doigts, c’est vraiment un moment de bonheur. Mais. Oui, il y a un mais. L’odeur, vraiment, j’ai du mal. Ça sent l’huile. Ok, normal, me direz-vous. Mais l’huile de friture. Vraiment. J’ai l’impression à chaque fois d’être une grosse frite qu’on plonge dans son bain d’huile végétale. J’ai vraiment du mal avec ça.

 


Je ne suis pas partisan des soins parfumés, je peux vivre avec des odeurs désagréables, voire apprendre à les aimer. L’odeur du rétinol, par exemple me plaît beaucoup, maintenant. L’urée, en revanche, j’ai du mal. Je préfère qu’on ajoute un peu de parfum pas pour faire une crème de luxe qui sent bon mais pour faire un soin qui n’a pas d’odeur ou, du moins, pas l’abominable odeur de soufre de l’urée à laquelle je ne m’habitue pas. 

Cette huile, je sens bien que je ne vais pas m’habituer. Et je le regrette parce que pour le reste, c’est un sans faute et je pourrais vraiment l’adorer, mais je passe mon tour. Même si c’est normal pour une huile de sentir l’huile.

(En revanche, je suis toujours curieux du reste de la marque qui ne devrait pas sentir l'huile... J'évite de toute façon de juger une marque sur UN produit.) 



Commentaires

  1. Bon ben je passe mon tour alors. Parce que l'odeur d'huile, non merci. Je déteste l'huile DHC qui pue trop l'huile aussi. J'aime bien un peu de parfum surtout que ça se rince et je n'ai pas la peau sensible.

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    1. Ah je note de ne jamais essayer la DHC alors! Même avec une peau sensible, quand ça se rince, j'aime mieux que ça sente bon. Et de manière générale que ça ne sente pas mauvais. En plus, il y a des huiles non parfumées qui n'ont quasi pas d'odeur... Celle de Paula's Choice par exemple ne sent quasiment rien. Donc même en refusant complètement le parfum, c'est possible...

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